La sécurité routière pour 2013

Chaque mois, la sécurité routière dresse un bilan des accidents corporels. Le nombre de décès, de blessés et de personnes hospitalisées permettent d’évaluer l’impact des mesures prises par notre gouvernement. Suivez les chiffres de la sécurité routière 2013, mois par mois, grâce à votre blog Solution-Occasion.

Démultiplication du nombre de radars, sanctions alourdies, limitations de vitesse toujours plus basses… ces différentes mesures assurent-elles pour autant notre sécurité sur les routes?

Les chiffres de 2013 :

Le bilan de l’année 2012 à été positif, avec une baisse du nombre de morts sur les routes. Cependant, de nouvelles problématiques interviennent, telles que le bruit des voitures électriques, ou la hausse des  comportements dangereux et des incivilités. 2013 devrait être marquée par la mise en place de mesures sécuritaires, telles que de nouvelles limitations de vitesse sur le périphérique parisien et dans les villes par exemple.

Janvier

La mortalité a chuté de -8,8%, par rapport à janvier 2012: on compte 271 décès, soit 26 en moins.

Les accidents corporels ont reculés de -12,3% (602 accidents de moins). Le nombre de blessés a lui aussi chuté, (-11,6, soit 708 blessés évités), et le nombre de personnes hospitalisées plus de 24 h reste équivalent (-0,9%).

Février

La mortalité sur la route a connu un rebond de 6,5%. 217 personnes ont perdu la vie, c’est 13 de plus qu’en février 2012.

Par contre, le nombre d’accidents corporels a diminué de -7,5% (298 accidents de moins), tout comme le nombre de blessés (-5%, soit 235 blessés de moins). Les hospitalisations ont quant à elles augmenté, de 2,6%.

Mars

Mars a connu une chute exceptionnelle de la mortalité par rapport à mars 2012: -26,8% de morts en, c’est 203 personnes tuées, soit 74 de moins que l’an dernier. Le nombre d’accidents corporels est lui aussi en baisse, de -22,7% (3 887 accidents). On compte moins de blessés, (-20,9%, ou 4 930 personnes), comme moins d’hospitalisations (1 661 personnes, soit une diminution de -23,6%).

La neige tombée en abondance pourrait être la cause de ces bons chiffres, les automobilistes préférant rester au chaud chez eux.

Toujours plus de monde sur les routes, mais toujours moins de morts: les chiffres de la sécurité routière 2012 sont là, mais ses actions restent souvent contestées. De plus en plus d’études démontrent l’inutilité de certains radars, et il est difficile pour les automobilistes nde trouver l’aspect sécuritaire de certaines sanctions.

 

Les démarches pour immatriculer son véhicule d’occasion en france ?

Vous venez d’acquérir un véhicule d’occasion et vous devez établir le certificat d’immatriculation dans le mois qui suit la date inscrite sur le certificat de cession du véhicule.

Quelle démarches choisir ?

La demande peux se faire de plusieurs manières :

– En s’adressant à un professionnel habilité qui effectuera les démarches à votre place (ex: http://www.carte-grise-online.fr/index.html)

– En vous rendant dans une préfecture ou une sous-préfecture (certaines sous-préfecture n’effectue plus cette formalité). A paris, il faut vous rendre au service des cartes grises de la préfecture de police ou à l’antenne de police pour certains arrondissements. Vous pouvez aussi effectuer cette démarche par procuration à une personne pour faire la demande à votre place dans le cas d’un empêchement. Si le véhicule est déjà immatriculé dans le système S.I.V une pré demande de changement de titulaire en ligne peut être effectué sous certaines conditions.

– Pour finir, vous pouvez demander le certificat d’immatriculation par correspondance en adressant un courrier à la préfecture ou, a Paris, au service des carte grise de la préfecture de police.

Si la démarche n’est pas effectué dans un délai d’un mois et qu’un contrôle des forces de l’ordre est effectué, vous devrez payer une amende correspondant à une contravention de 4eme classe et devrez refaire le contrôle technique s’il a dépassé un délai de 6mois.

Enfin, malgré le délai d’un mois réglementaire dépassé, la demande sera quand même traitée par les services préfectoraux.

Fusion Fiat-Chrysler: dénouement en 2014

L’annonce a été faite par Sergio Marchionne, le patron du groupe automobile italien, la fusion entre Fiat et Chrysler se confirme. Le mariage devrait être célébré en 2014.

Après Renault-Nissan, PSA-Général Motors, cette fusion devrait donner naissance à un nouveau géant de l’industrie automobile.

Quand en 2009, Fiat devient actionnaire du groupe Chrysler, le constructeur américain est alors en faillite. Mais sans cette contribution de Chrysler, le groupe italien aurait été lourdement déficitaire en 2012.

Fiat détient 60% de Chrysler. Sergio Marchionne veut donc aller plus loin et ainsi absorber la filiale américaine pour permettre de sécuriser l’avenir de Fiat, contrairement à la marque italienne, Chrysler est présent sur les principaux marchés au monde.

Avant que cette fusion soit effective, Fiat va devoir trouver un accord avec l’autre puissant actionnaire de Chrysler, le syndicat automobile américain, l’United Auto Workers (UAW) qui va lui vouloir monnayer très cher ce désengagement profitable. L’autres points délicats à régler, se situe autour du nom du futur groupe ainsi que la localisation du son siège social. Toutes ces questions restent très sensibles en Italie où Fiat est le symbole de l’industrie italienne.

Attention aux arnaques

Chaque jour nous sommes confronté à des tentatives d’arnaques en tout genre lorsque l’on souhaite vendre une voiture.

Les vendeurs « particuliers » sont directement touchés par ce phénomène et on peut très vite se faire avoir lorsqu’une opération est bien montée.

Depuis quelques temps il ya en une qui circule et fait de nombreux ravages :

L’approche se fait par e-mail et une fois que la transaction est bien engagée voici le courrier type envoyé :

Je confirme l’achat du véhicule au prix de XXXXXX € ,
Après renseignement auprès de ma banque concernant le mode de règlement,
il ressort que les chèques certifiés de banque de l’Afrique vers l’Europe ne sont pas garantis,
Étant présentement en Afrique, Je suis expatrié de nationalité Française.
Au service du PNUD (programme des nations unies pour le développement en côte d’ivoire et au Ghana) Afrique de l’ouest.
Ma banque me conseille le virement bancaire, plus rapide et sécurisant (crédite votre compte dans les 48 heures à compter de sa date de mise en exécution), je propose donc vous régler par ce canal.
Je recommanderai la compagnie de transport MAERSK LINE chercher le véhicule à votre adresse après que votre compte soit crédité..
Mon tel 00225 07 15 19 58

sincère salutation.
M.JM Bouillaud »

Notre but est de diffuser ces informations de manière très large afin d’informer au maximum les vendeurs de véhicules.

En choisissant Solution-Occasion pour réaliser vos ventes automobiles, vous mettez tous les atouts de votre côté pour éviter ce genre de piège.

Acheteurs de VO : Quels éléments vérifier ?

En tant qu’acheteur de VO il est important de vérifier un certain notre d’éléments afin de s’assurer de la qualité du produit dont on souhaite faire l’acquisition.

L’extérieur du véhicule

Le premier contrôle à effectuer concerne l’extérieur et l’esthétique globale.

  • Les pneumatiques : Il faut contrôler le niveau et régularité d’usure des pneus ainsi que leur conformité => Les pneus doivent être obligatoirement  identiques sur un même essieu (dimensions / marque / structure …).
  • Les Jantes : Contrôler leur état : les chocs, rayures etc… Attention une jante alliage coute cher à remplacer. Une jante trop abîmée peut aussi trahir un choc passé qui aurait pu endommager d’autres pièces du train avant ou arrière ainsi que les éléments de direction.
  • Carrosserie / Peinture : Il faut contrôler l’ensemble de la carrosserie et traquer tous les petits dommages . Il ne faut pas hésiter à se baisser pour contrôler les bas de caisse . Les Frais de remise en état sont onéreux et il faut s’en servir pour éventuellement négocier le prix.  Attention toutefois dans le jugement car un véhicule d’occasion n’est par définition pas neuf et certains dommages seront acceptables au regard de l’âge et du kilométrage du véhicule.
  • Les feux et optiques de phare : Il faut s’assurer qu’ils ne présentent pas de cassures qui pourraient laisser pénétrer l’eau. Il faut également  toucher pour s’assurer que leur fixations ne sont pas cassées (particulièrement pour les optiques AV).
  • Rétroviseurs : Vérifier leur fonctionnement électrique ou manuel et également s’assurer qu’ils ne rabattent correctement.
  • Les portes et ouvrants : il faut manoeuvrer chacune des portes, le capot et le hayon afin de s’assurer qu’il n’y a pas de jeu dans les charnières, que les éléments soient correctement alignés avec le reste de la carrosserie.
  • Coffre : Soulever les tapis, vérifier la présnece de la roue de secours, assurez-vous qu’il n’y a pas de déformation de la jupe ou du plancher (signe de choc antérieur).
  • Attelage : Si le véhicule présente un attelage il faut impérativement connaître la nature et la fréquence de son utilisation. Un usage régulier peut accélérer l’usure de l’embrayage.

L’intérieur du véhicule

Les contrôles à effectuer sont surtout d’ordre esthétiques : usure de sièges, trous, déchirures, tâches etc…

Il faut toutefois contrôler différentes choses :

  • Ceintures de sécurité : Dérouler chacune des ceintures et les boucler afin de s’assurer qu’elles focntionnent toutes correctement.
  • Allume cigare / prise 12 V : Vérifier le fonctionnement. En cas de panne c’est souvent le fusible, mais attention car c’est la prise elle-même qui peut être défectueuse et ainsi le fusible grillera à chaque fois.
  • Rideaux : De nombreux véhicules sont équipés de rideaux intégrés aux portes arrière ou pour oculter le toit ouvrant. Il faut manoeuvrer chacun de ces éléments et s’assurer de leur bon fonctionnement.
  •  Les sièges : Vérifier le bon focntionnement de toutes les commandes de réglages et basculement.

La mécanique

Il faut demander au propriétaire de produire le carnet d’entretien et le contôle technique si celui-ci a déjà été effectué.

Il faut également s’informer sur la périodicité de remplacement de la courroie de distribution et de savoir si celle-ci a déjà été effectuée.

D’autres points visuels sont à contôler :

  • Niveau d’huile : Vérifier le niveau et retirer également le bouchon => il ne doit pas y avoir de « mayonnaise » (mélange jaunâtre qui révèle une présence d’eau dans l’huile). Dans ce cas, il est fort probable que le joint de culasse soit en train de lâcher.
  • Liquide de refroissement : Vérifier le niveau et ouvrir le bouchon (moteur froid) pour s’assurer qu’il n’y a pas de présence d’huile.
  • Liqui de frein : Il ne doit pas être « noir » et si le niveau est bas c’est signe d’une usure avancée des plaquettes de frein.
  • Etanchéité générale : Contrôler l’ensemble du compartimen moteur et traquer les traces d’huile.
  • Soufflets de transmission : Il faut braquer les roues à droite puis à gauche et vérifier que les soufflets ne sont pas coupés (des traces de graisse dans les passages de roues ou à l’intérieur de jantes sont également un signe certain de ce type de défaillance.

Tant que vous êtes sous le capot, il est opportun de vérifier la conformité du N° de châssis avec celui de la carte grise.

 L’essai du véhicule

L’essai du véhicule est également une action incontournable dans une phase d’achat.

 En effet, après avoir fait un état statique, et identifié certains points à contôler, l’essai routier sera déterminant et confirmera ou non vos craintes ou bonnes impressions.

Les test à acomplir :

  • Faire fonctionner tous les élements de bord : Ordinateur de bord, climatisation /chauffage, éclairage, radio, toit ouvrant, essuie-glaces AV et AR, vitres électriques etc…
  • Démarrage moteur : Il doit se faire sans heurts et au maximum au second coup de clef. Le régime moteur doit ensuite être régulier.
  • Boîte de vitesse : Il faut passer l’ensemble des rapports y compris la marche arrière. Ils doivent passer sans résitance ni molesse et présenter aucun craquement.
  • L’embrayage : il y a deux techniques complémentaires :

La première consiste à se stabiliser à bas régime et écraser la pédale d’accélérateur => Le moteur ne doi ni hoqueter ni mouliner.

La seconde conssiste à se mettre à l’arrêt, frein à main serré : ENgager le premier rapport et embrayer doucement => l’embrayage doit « coller » et être limite à faire caler le moteur. Si ce n’est pas le cas et que le moteur mouline, c’est que l’embrayage est fatigué.

  • Freinage : Il faut effecteur un freinage appuyé en ligne droite et s’assurer que le véhicule ne dérive ni à droite ni à gauche.
  • Direction : Il faut la manoeuvrer de butée à butée et elle ne doit présenter aucun point dûr. En roulant, lâcher le volant en ligne droite et sur un revêtement de bonne qualité pour vous assurer que le véhicule ne « tire » ni à droite ni à gauche.

Une fois ces test effectués et s’ils s’avèrent positifs, alors vous pouvez être rassuré. Le véhicule ne présente pas d’anomalie majeure.

Attention toutefois, cela ne veut pas dire que le véhicule est parfait état et que vous n’aurez aucune anomalie. Il est donc judicieux de souscrire une garantie panne mécanique pour éviter tout risque de grosse dépense imrpévue. Dans une fourchette de 100 à 500 € il existe bon nombre de ces garanties pour des durées de 3 à 24 mois.

 Vous pouvez souscrire ce type de garantie auprès de www.solution-occasion.fr

 Il ne vous reste plus qu’à négocier votre achat et finaliser la transaction.

Quel est le juste prix d’un véhicule d’occasion ?

La première notion à intégrer pour déterminer le prix d’un véhicule d’occasion c’est sa cote. La cote « Argus » ou d’autres cotes professionnelles comme Kotauto (Eurotax) déterminent une valeur de référence du véhicule.

Cette cote est basée sur l’âge, la marque, le modèle, la motorisation et la finition du véhicule. D’autres paramètres sont pris en compte comme  son kilométrage, ses options, le nombre de propriétaires.

Cette référence n’est pas pour autant le prix auquel doivent se négocier les autos.

En effet, l’état esthétique et mécanique intervient directement dans la valorisation. Toute négligeance d’entretien, dommage de carrosserie, déteriorations intérieures viendront se soustraire à cette cote.

A l’inverse un véhicule en parfait état aura toute les chances de se négocier à un prix supérieur.

Ensuite, il faut intégrer la notion de marché. Cette notion est importante est peut également faire évoluer un prix de vente :

Il est nécessaire de réaliser une étude régionale et/ou nationale afin de voir comment sont positionnés les véhicules aux caractéristiques similaires.

La saisonnalité joue aussi un rôle important : les monospaces et cabriolets se vendront toujours plus cher et plus vite à l’approche des premiers départs en vacances !

Nous vous conseillons donc de commencer par effectuer une cote précise sur l’ARGUS ou KOTAUTO puis d’affiner ensuite le chiffrage.

Si vous avez besoin d’aide complémentaire, l’équipe de Solution Occasion reste à votre disposition et déterminera avec vous le niveau d’assistance dont vous avez besoin.